Avec une écoute, un dialogue et du respect, nous réussirons ce projet si mal engagé.

 

 🔼Voici un article que nous souhaitions vous communiquer et qui n'a pu être diffusé sur Ouest France.

L’article paru dans l’édition Ouest France du 02 février 2021 titrant « sur les rails, le projet ne se laisse pas miner » est surprenant, voire navrant.

Les trois auteurs, anciens dirigeants de la précédente mandature, sont les artisans de ce projet qui aurait dû fédérer mais qui, en partie par la méthode employée, a divisé. Notre liste « L’avenir avec vous à Pont-Péan » étant citée dans cet article sorti d’outre-tombe, nous souhaitons rappeler à ces messieurs que l’élection s’est jouée à 46 voix dans un contexte particulier, ce qui n’est pas vraiment un satisfecit pour leur projet, même au contraire la preuve que des alternatives étaient possibles et souhaitées par une part importante de la population.

Ce résultat devrait encourager la modestie et renforcer l'écoute plutôt que de vouloir passer en force.

Le cabinet Médiéval a fait un excellent travail de recueil des besoins, malheureusement orienté à l'insu d'une partie de l'équipe sortante.

L’équipe menée par Michel Demolder a fait le choix de la continuité, découvrant mais assumant tous les désordres que nous avons soulignés lors de la délibération sur l’avenant n°3 du marché de maîtrise d’œuvre en octobre dernier.

La charge contre Charles Seigneur, président de l’association Galène et ancien architecte, n’est autre que l’expression du mépris vis-à-vis des associations et des pontpéannais qui osent exprimer leur désaccord. Rappelons-nous de la réplique de l’ancien maire lors de ces « nombreuses » réunions publiques, en réponse au Cercle Celtique qui soulignait un aménagement incompatible avec leur activité « vous aurez à vous adapter et changer de chorégraphie ».

Nous aurions aimé que le nouvel élan de la nouvelle majorité soit plus soucieux des intérêts de ses citoyens et futurs usagers. En adoptant l’APD avant de prendre le temps d’écouter et travailler avec les associations concernées, nous en doutons désormais. La course à la subvention semble être la motivation première, et prétexte à la précipitation.

Désormais, nous avons tous intérêt à ce que ce projet aboutisse avec un reste à charge pour la commune le plus faible possible, mais dans le strict respect de notre patrimoine et des futurs usagers. Nous avons la chance d’avoir des personnes responsables d’associations, amoureux de leur commune, pourquoi leur faire moins confiance qu’à des individualités qui ont une vision de la société qui leur est propre. Avec une écoute, un dialogue et du respect, nous réussirons ce projet si mal engagé.

lien vers article Ouest-France  du 02 février 2021